Nom : Abe
Prénom : Kimiko
Sexe : féminin
Age : 24 ans
Statut social : criminelle, hors la loi et tueuse en série .
Caractère : Je suis une fille assez difficile, je ne me laisse marcher dessus. Je n'aime pas qu'on me prenne pour une idiote, pour une gentille fifille à son papa. Je méprise les gens qui s'abaissent à s'excuser pour se faire bien voir ; ainsi que les filles qui provoquent en se servant de leur corps. Je déteste par dessus tout lorsqu'on me coupe la parole. J'aime les hommes, les vrais hommes, non pas ses espèces de machos qui prennent les femmes pour leur gibier. Je méprise les femmes, toutes les femmes. Je ne supporte pas leur présence, leur odeur de fille bien propre ; moi, je préfère l'odeur du sang coulant le long des trottoirs et plongeant dans les égouts.
Physique : Je suis une personne plutôt belle, enfin la plupart des gens me le disent (ceux disant le contraire sont tous morts ). Mes yeux sont rouges. Je porte toujours des robes avec beaucoup de dentelle et beaucoup de lacets . J'ai des cheveux gris, d'ailleurs ils ont toujours été gris. Je porte très peut de couleurs sur moi , seul une petite rose rouge est accrochée à ma poitrine et mon bandeau est orné de trois roses violettes. J'ai la peau assez claire, je n'aime pas bronzer, je trouve que ca ne va pas avec la couleur de mes habits.
Histoire : Je suis née en 1984. Ma jeunesse se passa dans de sombres demeures, battues par les vents d'hiver. La mélancolie et la mort furent mes compagnes de jeux. On m'a fiancée à l'âge de 11 ans, l'usage voulait que je soit élevée par ma future belle mère, une femme pudibonde qui me priva de toutes les joies de l'enfance, m’assommant de saintes lectures et de prières. Le mariage eut lieu quatre années plus tard en mai 1999, s'unissaient alors deux des plus puissantes familles du pays. Mon mari et moi nous étions fixés à Nagano, en une demeure sombre et lugubre sur une montagne désertique. C'est là que j'ai passé la plus grande partie de mon existence tandis que mon époux faisait la guerre. Je m'ennuyais, seule, abandonnée, j'errais parmi les longs couloirs humides et noirs de la demeure.
Les premières manifestations de ma cruauté se manifestèrent déjà du vivant de mon mari. je dévêtue une parente de ce dernier , elle fut enduite de miel et abandonnée un jour et une nuit dans le jardin pour que les insectes la piquent . En l'an 2000 , ma belle-mère mourut . Je me rendit plusieurs fois à Tokyo , déjà le surnom de Bloody countess, (la comtesse sanglante) circulait. On racontait des histoires de sang coulant dans la capitale, de cris des filles assassinées.
Vers la fin de l'année , mon couple acquit une vieille bâtisse, il semble que mon sadisme ne connut plus de bornes. La nuit se gonflait de hurlements et, chaque matin, la bonne jetait dans la rigole des baquets d'eau rougies. C'est aussi dans cette maison qu'il fallait verser des cendres tout autour de mon lit ; car les flaques de sang, dans ma chambre étaient si vastes, que je ne pouvait les franchir pour aller m'étendre.
Mes séjours dans cette bâtisse de l'horreur furent toujours exceptionnels. Je mis au monde pourtant , trois enfants ; et je sus être une mère aimante et attentive . Deux année passèrent , contre l'ennui , contre le temps qui passe . J'érais dans les rues de Tokyo , sans un but précis , dormant chaque nuit dans une demeure différente ; et passant mon temps libre à torturer de jeunes femmes dans les caves des braves qui m'accueillaient . Au début de l'année mon mari mourrut , étouffé par la bonne qui voulait se déffendre de ses étreintes , je suis de nouveau seule , cette fois veuve . Des lors je me montre impitoyable, cette situation m'apporta des forces nouvelles. Mes complices redoublent d'effort pour m'apporter d'autres victimes, en échange de nourriture ou de récompenses, mes complices au sein des villages apportent de pauvres jeunes filles à l'ogresse. La rumeur gonfle, hurle, trop de filles disparaissent ...
Je décide de partir , pas de changer de ville , mais d'aller dans la banlieue de Tokyo et de laisser les quartiers riches et les villages pauvres à d'autres .